Quand le président du magazine Forbes défend la Vape

Steve Forbes est le successeur de Bertie Charles Forbes, le fondateur de Forbes Magazine en 1917 et de Malcom Forbes. Le célèbre magazine passe de père en fils depuis trois générations. Les dernières révélations de l’actuel président sur la vape ont fait mouche. Explications.

Un parcours peu commun

Steve Forbes est président de Forbes Magazine depuis 1980. Après avoir fait ses études à la Brooks School, puis à l’Université de Pinceton, il obtient une licence d’histoire. Comme son père et son grand-père, l’écriture est une passion qu’il va rentabiliser en fondant un magazine étudiant : le Business Today. Il s’agit à l’heure actuelle du plus grand magazine à destination des étudiants au monde !

Comme son père, la politique l’intéresse. Steve s’essaie donc dans ce milieu, mais il rencontre moins de succès que son prédécesseur. Cependant, il est tout de même parvenu à faire partie des conseillers financiers de Donald Trump dès 2016.

Quel est le rapport entre Steve Forbes et la cigarette électronique ?

Il semblerait que Steve Forbes soit un fervent défenseur de la cigarette électronique et adepte du lexique de l’e-cigarette. S’il était resté très discret sur le sujet, il s’est exprimé la toute première sur la vape en août 2020 lors des cultissimes conversations sans tabou, proposées par le podcast What’s Ahead. Lors de cette émission, les grands noms de l’information, les politiciens et les personnes connues dans l’univers de l’économie sont invités à remettre en question la pensée unique afin de briser certains codes. Le sujet de ce podcast était : Vaping versus Tobacco : the truth you need to know (vape contre tabac : la vérité que vous devez connaître).

 

 

Pour la seconde fois, lors de la même émission à laquelle il a été réinvité, Steve Forbes a cette fois déploré le fait que les arômes aient été interdits dans les e-liquides. Il a également indiqué sa crainte de voir les « anti-vape » remonter au créneau, suite à l’apaisement de la situation sanitaire dans le pays. Il s’est aussi appuyé sur des données précises afin d’étayer ses dires, comme le fait que la vape était moins nocive à 95 % que le tabagisme ou encore que les jeunes se détournaient du tabac avec un taux d’addiction passant de 16 % à 10 % aujourd’hui.